James Blunt: en fait, non!

James Blunt (Jean Pétard, pour les intimes) ne cesse de pourrir nos ondes actuellement. Oui, j’avais écrit un article sur lui il y a un an. Mais non, en fait, je n’aime pas. C’est d’la meeeeerde!

Je me confesse. Ca fait du bien. En effet, j’ai écrit il y a un bout de temps un article plutôt positif sur James Blunt, à ses débuts. J’aimas bien. J’avais découvert l’artiste via une démo que mon gentil cousin m’avait rapporté de Londres, fin 2004. J’ai écouté ça un peu dans tous les sens, ça me plaisait fort. Mais aujourd’hui, qu’est-ce qui a changé?

De fait, c’est un désastre à retardement, aussi frappant que… Kyo (premier groupe merdique qui me passe par l’esprit). Lorsque James Blunt (aussi connu désormais sous le nom de James C*nt) propose son nouvel album, on imaginait l’arrivée fanfareuse d’une nouvelle pop-star talentueuse. Lors de ses débuts, on lui accordait le bénéfice du doute car il arrivait à faire passer une certaine émotion lors de ses chansons. Bien que la technique musicale était loin d’être correcte, j’avais tout de même été le voir lors d’un mini concert d’une centaine de personnes, à Bruxelles, mi 2005. A ce moment là, je me disais qu’il y aurait moyen qu’il progresse, avec de nouveaux musiciens et en faisant des lyrics basiques mais sympathiques pour un jour de gueule de bois. Nous sommes quelques jours après que j’ai écrit mon premier article sur lui.

Pourtant, quelque chose commençait à devenir irritant à l’approche de l’été. Deux mots que toutes les gamines répétaient en boucle (croyant probablement que l’on s’adressait à elles) “You’re Beautiful”. Certes pas aussi courrouçante que “Goodbye My Lover”, cette chanson commençait à passer un peu trop souvent à mon goût et a fait de James Blunt ce qu’il n’imaginanit probablement pas: le n° 1 un peu partout en Europe.

Finalement, ces histoires sont finalement aussi plates qu’une Avril Lavigne racontant pour la énième fois qu’elle s’est fait plaquée par Brandon (ou John, je sais plus 😎 ). Quoiqu’il en soit, il m’est dorénavant impossible d’entendre ne fût-ce que quelques microsecondes de cette chose qui s’est transformée en un objet musical diabolique. Tel le réveil, on espère tout sauf de l’entendre…